Connu dans le monde entier, le quartier rouge ou du centre historique est le royaume de la prostitution.
Ce n’est cependant pas le seul quartier où l’on trouve des prostituées. La Spuistraat et le Ruysdaelkade par exemple ont aussi leurs « vitrines » aux lumières rouges. Mais le cœur d’Amsterdam c’est bien plus que ça. De nouvelles opportunités offre au Quartier Rouge un avenir basé sur ses nombreuses qualités.

Historique

La prostitution connait une longue tradition de tolérance à Amsterdam. La sécurité est ici le mot-clé. En plus d’empêcher la prostitution forcée, le but du quartier est d’offrir une approche ouverte et honnête. Les travailleurs du sexe comptent ici leur propre syndicat, une protection assurée par la police, un centre d’informations (également destiné aux visiteurs) et une surveillance fréquente, ainsi qu’un encadrement professionnel.

Ateliers

Depuis 2006, la Ville d’Amsterdam a fait de la lutte contre la criminalité une de ses toutes premières priorités. Plusieurs séries de « vitrines » ont été fermées après l’implication des propriétaires des lieux dans des activités de blanchiment d’argent ou de traite des femmes. De jeunes créateurs de mode ont installé leur atelier ou montrent leurs modèles dans ces espaces mis gratuitement à leur disposition dans le cadre de cette opération baptisée « Red Light Fashion ».